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LafilledejaneEyre

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Création : 11/10/2011 à 15:12 Mise à jour : 03/08/2015 à 06:21

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2 articles taggés ironie

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___________________________________

Moi:


Chaman, que fait-on de ton rire?

Extase.

A l'est, on dit qu'il aide à s'éteindre les oiseaux
Que tu jongles avec les lucioles, piétinnant l'herbe folle de grands et beaux sauts;
Tu transes comme une onde, balbutiant des odes à tes dieux,
Brille dans ton oeil la lueur des cieux bleus
Aussi que tu vibres sous un hallelujah de comètes, d'os et de peinture,
Tes yeux griffent l'Arbre de confettis en fruits ou de verdure
Bellement tu gargarises la musique dans ta gueule ,
Vers un ciel d'hémoglobine, où le soliste combat l' cri d'Mr Bungle.
Tu te sens comme gitane, voluptueuse et grâce, tes pieds sont dans la boue,
Par derrière de ta rue, les sémaphores de voiture viennent t'habiller
D'or et de photons crépitants. Tu sèmes ton rire comme la dame son gibier
T'as les Balkans dans tes jambes à te faire volter comme un loup.

La lavande de tes veines sèche au feu des jades brillants.
T'as les tutus les banbans, chuku, chuchu pan-pan
Plein d'astres qui chantent au coeur des tes paumes.
Aux noeuds de tes cheveux poussent des anémones.
Chamane, qu'as-tu à nous dire?
Un Vase.






Grévire

A l'ouest, ton rire se fait de temps à autre délire, par habitude
Tu balades ta silhouette de solitude en sollicitude
Tu parles aux cygnes de fumets et de fragrances flagrantes.
A travers les monts pelés et les vallées inodorantes
A travers des forêts forées et dénaturées
Au travers des chants et des pâturages mis en pâtée
Tu trembles devant l'immaturité des Hommes, ces pives
Qui jouent les armes de destruction massive
Tronçonnant, tailladant, incisant, morcelant Mère nature
Et pourtant, ton rire résiste à cette déconfiture.

Tu pars et tu reviens, tu meurs et tu revis
Tu désespères, tu t'encourages, tu pleures et tu souris...
Ton âme se rebelle mais tu restes de marbre pourtant
Car tu es chamane et tu vis dans le maintenant
Tags : chaman, ironie, étrange, écriture automatique, inspiration mallarmé, syntaxe bizarre, prière, ode, transe, onde, oiseaux, peinture
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#Posté le samedi 12 mai 2012 11:43

Modifié le lundi 01 octobre 2012 01:48

Parce que moi aussi je peux être créationniste !

Nous descendons tous de Pierre Bellemare.


Parce que moi aussi je peux être créationniste !

Pierre Bellemare transpirait dans un sommeil agité. Bien enfoncé dans son lit, il respirait fort, haletait, et convulsait en criant à l'aide. Sa femme se réveilla d'un coup, sentant auprès d'elle son mari se mouvoir et gémir. Inquiète, elle appela : « Pierre... ? », puis alluma la lampe de chevet, maladroitement pour découvrir celui-ci les yeux grands ouverts, échevelé, murmurant « J'ai fait un épouvantable cauchemar ! » . Madame Bellemare se redressa, affable et couvrant son époux de baisers, s'enquit : « Raconte mon amour, parles moi de ce vilain rêve. » Alors elle posa la joue sur sa poitrine, et passa ses bras autour de lui.
« Cette histoire doit être en moi depuis des décennies, de l'époque où je jouais avec une machine dans le temps en carton, ou alors de mes gênes, de mon essence même d'être humain. Je viens de trouver un sens à la vie, et une confiance au destin.
Madame Bellemare : ... ?
Pierre Bellemare : Le rêve que je vais te conter, est purement une histoire extraordinaire, qui vient à peine de se réaliser, et qui, si tu prêtes attention aux signes... te glacera le sang, par son étonnante symbolique. –Silence dramatique -
En effet, moi Pierre Bellemare écrivain cabochard, chroniqueur à la radio, mais surtout, vieil animateur de télévision spirituel, qualifié comme « le dinosaure des écrans », né le 21 octobre 1929 à Boulogne-Billancourt, a vécu ce soir, jusqu'à 23h02, un terrible évènement.
Les faits sont simples mais pourtant voilés d'un impénétrable mystère. –Silence énigmatique- Je vivais au sein d'un monde étrange où j'étais un pauvre être nu, sans le moindre vêtement pour me couvrir, exposé à la vue de tous, comme peut l'être un vers de terre sur un chemin de graviers. Horreur ! ...-Silence tragique-
Pourtant, moi Pierre Bellemare, écrivain à ses heures, finaliste au grand prix du journalisme magazine, et ancêtre du monde télévisuel, peut certifier que je n'étais aucunement choqué, gêné d'être dans le plus simple appareil. Que s'était-il dont passé pour que puisse agir d'une si étrange façon ? Quels traumas, maladies, psychoses, ou névroses avais-je donc attrapés ? Fut-ce là quelque preuve de démence, ou bien quelque miracle divin ? Car oui, Madame Bellemare, l'histoire qui va suivre plonge dans des troubles terrifiants, car qui peut ne pas qualifier de béni, le moment où un être retrouve la prime Innocence !!! –Silence fanatisé -
Je n'avais pas donc ni conscience de ma nudité, ni celle de mon essence, je vivais dans un monde qui dépassait l'imagination par ce qu'il avait de beau et d'agréable : aucune peine, aucune pensée, aucune individualité, je ne pouvais ressentir que l'amour. Une femme superbe d'ailleurs vivait avec moi, je la sentais être ma s½ur, et mon égale. –Silence nostalgique - . »
Pierre Bellemare passa une main dans son cuir chevelu blanc et négligé. Attrapant son nouveau Blueberry dans la poche de son pyjama Lacoste, il montra à sa femme, une série de témoignages d'illustres inconnus confiant à la caméra leur expérience de mort imminente

Témoignage numéro 1.
« Barbara, 45 ans, vit dans la banlieue de Sacramento en Californie avec son mari Bob, où ils sont parents de deux beaux enfants Tommy et John. –vues de la maison, de l'intérieur, cuisine au top, écran plasma-. Cependant, il y a trois ans, cette vie si parfaite a failli être anéantie, quand Barbara, rentrant en voiture un soir du travail, manque de décéder dans un terrible accident. « Je ne sais plus très bien, confie t elle, il pleuvait beaucoup ce jour là, et j'avais eu une journée épuisante au travail. Je ne voulais pas arriver en retard, car c'était l'anniversaire de Bob, et avec quelques amis nous avions réservé dans un très bon restaurant. Je savais qu'il ne fallait pas téléphoner en conduisant, mais je voulais rappeler à Bob d'avertir la baby-sitter que John avait un gros rhume et qu'il fallait le coucher tôt. J'allai raccrocher quand soudain, les plein-phares d'une voiture m'a aveuglé et fait perdre le contrôle du véhicule.
Bob : A 21h, on l'attendait toujours au restaurant, nous avions réservé pour 20h30, ce retard nous paraissait anormal. Puis le serveur du restaurant est venu me dire qu'on me demandait au téléphone, je suis allé prendre le combiné, je ne m'attendais vraiment pas à une nouvelle de ce genre. Barbara était à l'hôpital, on me disait qu'elle avait très peu de chance de s'en sortir. Je n'arrivais pas à le croire. –Il pleure-
Barbara : J'ai eu l'impression de quitter mon corps dès mon arrivée à l'hôpital. Je me voyais sur le brancard, moi, les vêtements brûlés, pleine de sang, et tous ces médecins autour de moi qui m'appelaient, mais j'étais incapable de leur répondre. Je me souviens m'être sentie extrêmement bien, sereine, remplie d'amour pour l'humanité. –son visage s'illumine- Il y avait là bas cette lumière blanche, magnifique, qui me disait de la rejoindre, mais la seule chose à laquelle je pouvais penser, c'était à l'anniversaire de Bob, que je pouvais pas l'abandonner.
Médecin de Barbara : Nous n'y croyions plus, après seulement 10 min en salle d'opération, Barbara montrait d'immenses signes de faiblesse, et son c½ur ne battait presque plus. Nous allions déclarer le décès, mais Barbara s'est miraculeusement remise à vivre, d'un coup. Cela arrive parfois, que certains patients reviennent comme cela à la vie sans que la science puisse l'expliquer, la seule leçon qu'il faut en tirer sinon je crois, c'est que l'amour peut vraiment vaincre de tout, parce qu'il est la force et l'obstination.
Barbara : Je me souviendrais toute ma vie de cette expérience. Elle a changé ma vie !! Aujourd'hui, je crois plus que tout qu'il existe un Dieu, et que la vie est vraiment belle.
-Vue de la famille, heureuse, jouant avec le chien dans le lovely garden-

Témoigne numéro 2 :
« -Age of Spaces Motorhead, plan américain d'un homme crâne rasé, tatoué, percé chevauchant une grosse cylindrée sur l'une de ces routes désertiques de l'Amérique Profonde -.
Tom, 24 ans, vit dans le Texas chez sa mère Nora, veuve d'un gérant de ranch décédé tragiquement dix ans plus tôt, écrasé par un tracteur. A l'époque, ses amis le surnommait: « Le chacal » car Tom était un amateur fanatique de sensations fortes, de motos et des filles. Sa mère l'appelait non sans inquiétudes « Tom la tête brûlée » mais aujourd'hui, Tom a changé de voie, totalement.
Tom : -cheveux mi-longs, chemise à carreau- barbu- C'est à cause de cet accident. Pas celui de mon père, le mien. J'étais parti en bécane voir des potes pour fumer un peu de Marie-Jeanne, de la drogue, de la vilaine et méchante drogue, et sur le retour, je roulais trop lentement, il faisait nuit, une charrette m'a heurté par derrière, le mec n'y voyait rien ! Je suis tombé à terre, la bécane sur la jambe droite, le pot d'échappement sur les parties génitales, je souffrais atrocement. Je me rappelle avoir entendu des bruits de sabots s'approchant de moi, puis plus rien.
Médecin de Tom : Un jeune homme nous est arrivé ici un soir dans un sale état. Personne ne pouvait croire qu'il allait s'en sortir, ça aurait dépassé l'entendement. Un cheval lui avait marché sur la tête, sa boîte cranienne était fissurée par endroits -images radios- et la moto lui avait brûlé une partie de la jambe droite. Mais lorsque je l'ai opéré, j'ai commencé à changer d'avis, ce jeune homme dégageait réellement l'envi de s'en sortir. Il se montrait d'une telle vaillance, que j'ai promis devant Dieu de ne pas l'abandonner.
Nora : Tom à l'époque était réellement une sacrée teigne. Il accumulait les bobos, fractures, os cassés, j'étais fatiguée de lui et de tous ses séjours à l'hôpital à cause de ses bêtises, cela nous revenait cher. Mais, quand je l'ai vu là, sur la table d'opération, j'ai prié le Seigneur pour qu'il me le rende, car je n'avais plus que lui sur Terre.
Tom : J'étais comme dans un rêve, je flottais, et je dominais tous les gens que je croisais. Je me rappelle avoir été dans d'autres salles, et même un peu sur une terrasse, où un homme de grande taille fumait. Je suis encore capable de vous les décrire, les gens et les lieux, sans n'y être jamais allé physiquement ou les avoir réellement rencontrés! Incroyable. D'un coup , une lumière blanche m'a entourée, elle semblait me porter, j'étais heureux. J'ai vu alors mon père qui se tenait face à moi, il ouvrait ses bras pour que je l'enlace, et me souriait. C'était magique
Nora : Une infirmière est venue à moi toute essoufflée en salle d'attente, et m'a déclaré qu'un miracle s'était produit, que mon fils allait guérir. Elle n'en revenait pas. Elle répétait : « c'était impossible. Impossible ! »
Médecin de Tom : Impossible oui ça l'était pour nous, mais il faut croire que les voix de la Science sont impénétrables !
Tom : Quand je me suis réveillé à l'hôpital, et que j'ai vu ma mère à mon chevet, je me suis souvenu de mon père, et je l'ai prise dans mes bras. J'étais enfin heureux . »
-Gros plan sur la mère et le fils, qui se regardent tendrement, en se prenant la main-. »

Madame Bellemare porta une main à sa bouche pour étouffer sa stupéfaction, et docile, attentive, demanda à Pierre Bellemare de poursuivre son récit.
Pierre Bellemare : « Ainsi, moi et cette superbe femme étions donc peut être nous aussi, sujets au miracle. Nous jouions, nous nous promenions, nous rions chaque instant, ensemble, comme le disait Barbara « sereins ». Autour de nous la Jungle, pénétrante, suave, nourricière, nous comblait de toutes ses richesses. En cette Jungle, les dinosaures tels qu'on peut se les imaginer vivaient avec nous en harmonie, eux-aussi « miraculés ». Nous avions habitude de les nourrir à la main, de dormir avec eux, et de parfois boire leur lait. Je me souviens les avoir aimés, et en avoir été aimé en retour. J'avais une affinité particulière avec les Diplodocus, dont il me plaisait de manger les excréments. Dans ce monde, rien n'était nocif, tout était à prendre. Nous étions rempli « d'amour pour l'Humanité ». Un homme grand, barbu et blanc se mit à se joindre à nous de temps en temps. Qui était-il ? Que faisait-il ? C'est le plus grand des mystères. Lui, Eve et moi courrions souvent ensemble, nus, en la joyeuse compagnie des tyrannosaures. Nous avions le même langage, et nous nous comprenions. Nous n'avions pas la notion du temps, et vivions prosaïquement, mais sublimement. Une grande période de bonheur. « Pierre, m'ordonna un jour cet homme, fonde le monde selon ce qui est moi ». Aucune phrase jamais, ne sut être plus claire, et ne point susciter d'interprétations. Mais je vous demande, Madame Bellemare, qu'auriez vous répondu à cela ?
Nous continuâmes à vivre en cet état durant des années, et jamais nous ne ressentîmes l'envie de quitter ce monde. Qui peut blâmer l'homme n'est-ce pas incapable de quitter son bonheur ? Cependant, le drame qui devait se passer, se passa, un après midi ensoleillé, au bord de la plage, où Eve avait pris l'habitude de se promener. En ce lieu a priori si calme, quoi qu'un peu venteux, zone de jeux et rires pour les petits dinosaures, venait parfois à la vue de tous rôder un énorme mégalodon dont on ne connaissait pas l'identité. C'est un voyageur disait la mouette, un marchand ambulant croyait une autre, si bien que personne en cet endroit paisible, et ignorant du crime, n'osa vraiment lui poser des questions sur sa véritable nature. Quand son aileron perçait la surface des eaux, un énorme rugissement de vagues se fracassait contre les falaises, et un rire machiavélique faisait frissonner le sol. Mais Eve, jeune fille au c½ur pur, était confiante, et se mit à beaucoup parler avec lui. Cela n'alarma cependant pas le voisinage, qui aimait bien faire de nouvelles rencontres. Pourtant, moi, Pierre Bellemare, enfant nu du soleil, et de pluie, je m'en inquiétais ; Car Eve semblait changer à son contact. Elle n'avait plus toujours faim, elle ne souriait plus, et cherchait des coins d'ombre pour s'isoler. Que lui était-il arrivé ? Que lui avait dit le Mégalodon ?
Un soir, très tard, elle n'était toujours pas rentrée. Je dormais seul sous un saule, à l'endroit où nous avions toujours dormi ensemble. Je tremblais. Alors je me levai, et me rendais sur la plage où je pressentais qu'elle était, pour assister enfin à un bien sinistre spectacle. –silence malheureux-
Le grand homme barbu dominait la plage, juché sur un nuage, immensément grand. Je compris qu'il était au dessus de moi, mon supérieur, je me sentis effroyablement malingre et stupide. Il tenait dans sa main droite le mégalodon, qui paraissait minuscule, comme un insecte, et l'écrasa en sa paume. Des éclairs traversaient ses yeux, des foudres bombardaient l'Eden, alors que je voyais venir Eve à moi en courant, sous une pluie de feux. Lorsqu'elle fut devant moi, je la pris dans mes bras, fou de désespoir et d'amour. Dieu se pencha lentement vers nous, ses yeux étaient plus profonds et larges que tout un ciel. Pourquoi as-tu fais ça Eve ? lui criai-je tragiquement, en levant mes bras au ciel. Dieu m'expliqua que la petite Eve, avait pris l'habitude de venir ici, pour y entretenir des discours subversifs avec une mauvaise fréquentation. Que cette fréquentation nous en étions tous coupables, car tous témoins sans rien empêcher. « Mais qu'a-t-il fait ? Pourquoi ? hurlai-je enfin, en proie aux larmes – Il a convaincu Eve, de manger la Moule de la connaissance, par conséquent vous serez punis ! – Mais mais, nous ne sommes pas fautifs lança Eve désinvolte, puisque je ne savais même pas que c'était mal de faire ça ! Va-t-on blâmer le tyrex pour parfois tuer d'autres dinosaures en jouant ? »
D'un coup, des tempêtes se déchaînent, des ombres menaçantes se forment derrière nous, ce sont les dinosaures qui nous attaquent, qui nous rejettent, et les arbres qui nous oppressent, les lierres qui nous ligotent. Ah terrible nature vociférant et cruelle, qui tiens-tu donc en ton joug ?
Un tyrannosaure fonce tout d'un coup vers moi, la gueule grande ouverte. Ses dents sont acérées, sa gueule sent le cadavre, je ne suis plus vierge de la mort et du danger. J'esquive, je saute entre ses pattes, je lui donne un coup de poing dans le derrière, le combat continue, le reptile se tord, me balance un coup de queue, Eve crie. Le destin sauve-t-il toujours les plus courageux ?
Ses crocs me frôlèrent, et je restai hébété, incapable de lutter, moi, Pierre Bellemare se découvrant le plus brave de tous les hommes. C'est alors que Dieu stoppa l'animal, d'un geste ample du bras, et nous pris en sa main qui brillait au soleil. Je craignais qu'il ne nous écrase aussi, ployés entre ses doigts colossaux mais sa volonté en fut autrement. « Pierre, finit il par dire, porte ce que je t'ai enseigné, malgré les épreuves que je vais t'infliger et surveille un peu ta femme, elle risque de tout faire foirer.
-Dieu, répondit-il, ce sera là l'histoire la plus extraordinaire qu'il me sera donné de vivre ! »
Pierre Bellemare arrêta là son récit, et sembla plongé dans une profonde réflexion. Il prit un verre d'eau au pied de son lit, puis après avoir humecté ces lèvres déclara : Chérie, il faut que le monde sache qui est Dieu . »


Si vous pensez que Pierre Bellemare, est comme cette histoire le montre, la possible réincarnation de Adam, et donc le nouveau messie, le porteur du Vrai message, aidez moi à fonder une secte.



Parce que moi aussi je peux être créationniste !
Tags : créationnisme, pierre bellemare, secte, ironie, second degrès, dinosaures, paradis, jungle, eden, cosmogonie, evangeliste, evangelisme
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