L'air était sec, tout était calme.
J'errais à Paris, le long de la Seine, ce beau matin d'été,
L'on m'avait dit : « Promènes toi près de Notre-Dame,
Il y a toujours à voir, tu verras ! et l'on peut s'amuser ! »
Je me rendis au marché, près de la cathédrale,
J'y achetai des mandarines et quelques biscuits
Je les mangeai en observant les étales
Et m'offris une bague pour passer mon ennui.
J'admirai là bas, les péniches voguer doucement,
J'entendis des airs d'accordéon et de guitare,
Et tandis que j'allais sous les arbres m'assoir sur un banc,
Je vis blottis par terre, à l'ombre, un vieux clochard,
Il portait une ceinture de toile noire autour de la taille,
Un long manteau de laine sur un vieux pull très troué
Ses mains grandes et sèches, criblées d' entailles
M'imploraient : « pitié, pitié »
Il avait les habits sales, et sa barbe le grattait
Ses yeux étaient hagards, et ses chaussures crevées.
Il balbutiait dans un sommeil profond,
Tandis que la moiteur faisait briller son front.
A demi conscient, soudain il se redressait,
Nos yeux quelques secondes parfois se croisèrent
Je sentis que mes yeux reflétaient sa misère,
Et j'avais honte de ne pas savoir l'aider.
Un vilain bandage enserrait ses cheveux,
Du sang coulait le long du visage,
Et sur des cartons, il faisait naufrage,
Ce vieil homme malheureux.
J'errais à Paris, le long de la Seine, ce beau matin d'été,
L'on m'avait dit : « Promènes toi près de Notre-Dame,
Il y a toujours à voir, tu verras ! et l'on peut s'amuser ! »
Je me rendis au marché, près de la cathédrale,
J'y achetai des mandarines et quelques biscuits
Je les mangeai en observant les étales
Et m'offris une bague pour passer mon ennui.
J'admirai là bas, les péniches voguer doucement,
J'entendis des airs d'accordéon et de guitare,
Et tandis que j'allais sous les arbres m'assoir sur un banc,
Je vis blottis par terre, à l'ombre, un vieux clochard,
Il portait une ceinture de toile noire autour de la taille,
Un long manteau de laine sur un vieux pull très troué
Ses mains grandes et sèches, criblées d' entailles
M'imploraient : « pitié, pitié »
Il avait les habits sales, et sa barbe le grattait
Ses yeux étaient hagards, et ses chaussures crevées.
Il balbutiait dans un sommeil profond,
Tandis que la moiteur faisait briller son front.
A demi conscient, soudain il se redressait,
Nos yeux quelques secondes parfois se croisèrent
Je sentis que mes yeux reflétaient sa misère,
Et j'avais honte de ne pas savoir l'aider.
Un vilain bandage enserrait ses cheveux,
Du sang coulait le long du visage,
Et sur des cartons, il faisait naufrage,
Ce vieil homme malheureux.

medcinmen, Posté le mardi 22 novembre 2011 01:56
c'est bien parce que c'est tes memoires ou du moins parcque tu ecris de facons a ce qu' elle en es l'air mais as nouveau je n'aimes pas ont ce croirais dans un confessional ou chacun exprimes ses regrets ici ses doleances comme ci dans cet factice pouvait ce trouvais des solutions la seule chose qui as de l interet ici s'est que ci ont s'attardes un peu a lire certains textes vite ont comprend qu'il vaut mieux agir dans la realité que de penser et ruminer ici trop longtemp sous peine de radotage ou pire encore de mou du caillou des malasies imguérissable hi hi tciao bise